Disponibilités, affectations et résultats combats tour 6

C'est clairement un problème que j'ai déjà rencontré quelques fois :
Perdre 2 ou 3 unités dès les premiers tours, mais en fin de partie avoir des stats équilibrées des 2 côtés, ca n'empêche pas qu'on a perdu de la puissance de feu très tôt.

didorapido a écrit:

Une artillerie récalcitrante, un adversaire qui ne commet pas d'erreurs, une partie très serrée

Bonjour,

Je suis gêné parce que j'ai envie de dire un certain nombre de chose et je ne suis pas sûr qu'avec l'amertume des revers que nous avons connus mes propos soient bien compris.

Il n'y a pas que de la malchance dans ce qui nous arrive.

Attention, sans vouloir froisser personne je vous rappelle que j'ai déjà eu l'occasion d'en parler. L'artillerie, c'est toujours récalcitrant. Il n'y a qu'une chance sur six par dé de l'avoir ; 16 %. Ca fait pas lourd.
Quand on on va taper sur de l'artillerie, il faut être sûr d'y mettre les moyens suffisants. Et parfois ça ne suffit pas. C'est donc toujours une entreprise risquée. Le gain, ça peut être une médaille et un peu de tranquillité dans une bonne partie du plateau.
Et il vaut mieux avoir une carte à suivre en main, soit pour la finir, soit pour se tirer fissa. Ceci est vrai tout le temps, il faut toujours penser au coup d'après.
Si on sort une grosse carte pour attaquer tout de go en prenant le risque d'exposer des troupes, il faut bien penser aux mouvements et actions que l'on peut faire avec les cartes que l'on a en main, et ne pas trop compter sur le bol lors de la pioche de la carte.

D'une manière générale pour ce tour-ci, je comprends la déception de tous ; si ça continue à ce rythme, on tiendra difficilement jusqu'au tour 10.
On peut toujours espérer que la chance va tourner. Jusqu'à présent, je n'étais pas intervenu sur le sujet mais il faut bien avoir conscience que la chance, le hasard ne font pas tout. Je dirais même qu'ils défont tout. Ils défont tout ce que nous prévoyons. C'est la raison pour laquelle il faut donner le moins de chance au hasard de venir mettre le bazar dans nos projets.

Dans cette perspective, nous ne perdons pas expoir, nous continuons à combattre, et pour aiguiser nos griffes et nos esprits, je vous propose de nous entrainer encore plus sur les scénarios qui nous ont donné du fil à retordre. On ne baisse pas les bras, on y va !

n'oubliez jamais deux choses :

- le taux de réussite aux dés n'excède que rarement 40%
- la main se "travaille" avant toute attaque...

si on conserve l'Allemagne ce tour (ce qui à l'air d'être le cas) on ne peut que gagner!

philoo a écrit:

didorapido a écrit:

Une artillerie récalcitrante, un adversaire qui ne commet pas d'erreurs, une partie très serrée

Bonjour,

Je suis gêné parce que j'ai envie de dire un certain nombre de chose et je ne suis pas sûr qu'avec l'amertume des revers que nous avons connus mes propos soient bien compris.

Il n'y a pas que de la malchance dans ce qui nous arrive.

Attention, sans vouloir froisser personne je vous rappelle que j'ai déjà eu l'occasion d'en parler. L'artillerie, c'est toujours récalcitrant. Il n'y a qu'une chance sur six par dé de l'avoir ; 16 %. Ca fait pas lourd.
Quand on on va taper sur de l'artillerie, il faut être sûr d'y mettre les moyens suffisants. Et parfois ça ne suffit pas. C'est donc toujours une entreprise risquée. Le gain, ça peut être une médaille et un peu de tranquillité dans une bonne partie du plateau.
Et il vaut mieux avoir une carte à suivre en main, soit pour la finir, soit pour se tirer fissa. Ceci est vrai tout le temps, il faut toujours penser au coup d'après.
Si on sort une grosse carte pour attaquer tout de go en prenant le risque d'exposer des troupes, il faut bien penser aux mouvements et actions que l'on peut faire avec les cartes que l'on a en main, et ne pas trop compter sur le bol lors de la pioche de la carte.

D'une manière générale pour ce tour-ci, je comprends la déception de tous ; si ça continue à ce rythme, on tiendra difficilement jusqu'au tour 10.
On peut toujours espérer que la chance va tourner. Jusqu'à présent, je n'étais pas intervenu sur le sujet mais il faut bien avoir conscience que la chance, le hasard ne font pas tout. Je dirais même qu'ils défont tout. Ils défont tout ce que nous prévoyons. C'est la raison pour laquelle il faut donner le moins de chance au hasard de venir mettre le bazar dans nos projets.

Dans cette perspective, nous ne perdons pas expoir, nous continuons à combattre, et pour aiguiser nos griffes et nos esprits, je vous propose de nous entrainer encore plus sur les scénarios qui nous ont donné du fil à retordre. On ne baisse pas les bras, on y va !

Ok avec ton analyse Général. Sur mon début de partie je me lance avec ma seule carte au centre mais avec une seule idée. Eviter de le voir attaquer avec son flanc gauche très puissant et sortir mes unités qui ne peuvent reculer. Il est vrai que mon jeu à ce moment n'est pas follichon mais bon.
en revanche sur l'artillerie je ne partage pas ton analyse . En effet, c'est 12 dés lancés pour 1 grenade sans drapeau alors qu'il est devant la rivière gelée, ce qui me permettrait de sortir et de marquer mon dernier point. mais bon on ne va pas refaire l'histoire.
Cela étant, je fais sans doute une erreur de jugement auparavant et je dois sans doute plus me concentrer sur son infanterie restante au centre ( tour 11). Après les des et les cartes sont souvent les raisons invoquées de mauvaise foi pour expliquer une défaite on ne se refait pas !!!!enfin quand même regardez quand même son tour 12 ( 4 blindes et une grenade sur 6 des)
Cela étant le chef a toujours raison et je respecte volontiers ses commentaires et son jugement sur ma prestation

Salut,

J'ai bien précisé que ce message ne visait personne de particulier ; c'est une analyse des différents replays qui m'ont conduit à écrire le message que j'ai envoyé. En revanche, j'ai rebondi sur ton propos relatif à l'artillerie pour insister sur les risques liés à l'attaque d'une telle unité.

C'est clair, il faut en moyenne 36 dés pour éliminer une artillerie pouvant reculer. Avec le même nombre de dés, on élimine en moyenne 4 unités de blindés avec 3 figurines, et 4.5 unités d'infanterie avec 4 figurines (à nouveau, avec des drapeaux n'entrainant pas de pertes). Donc il faut vraiment avoir qu'elle pose un problème pour s'acharner dessus.

Le meilleur moyen pour éliminer une artillerie: l'aviation (les étoiles comptent, et les drapeaux ne peuvent être ignorés --> dans un bunker, ou derrière des sacs de sables, et en dernière ligne, de 1 chance sur 6, on passe à 1 sur 2 --> besoin de 4 dés en moyenne --> ca pose le problème de pouvoir avoir suffisamment de sorties aériennes, mais ça, c'est une autre histoire).

Merci mécano

Oups, petite erreur de ma part, j'ai confondu 2 choses en répondant trop rapidement trop tard:
On a 1 chance sur 36 d'éliminer une artillerie complète en lançant 2 dés.
Mais, il faut en moyenne "que" 12 dés pour éliminer cette artillerie. --> Ca correspond à 1.5 unités d'infanterie, ou à 1.33 unités de blindés. Bien entendu, il ne s'agit que de chiffres moyens, 2 dés peuvent suffire, mais parfois 24 ne sont pas assez. Le problème de l'attaque d'une artillerie, c'est que lors de la phase d'approche de la cible, elle lance plus de dés que nous (la seule configuration où on lance plus qu'elle (sans avoir un dé supplémentaire, combat rapproché, japonnais, action héroïque) est une artillerie sans protection face à un blindé situé à 3 de distance).
Dans le livre stratégique sur M44, il est conseillé, en général, d'attaquer l'artillerie ennemie sur les scénarios longues, et la laisser tranquille pour les courts. La limite court/long se situant à ~ 6 médailles.

mécanico a écrit:

Oups, petite erreur de ma part

C'est pas grave, l'esprit reste. C'est vrai que mathématiquement la correction que tu portes est nécessaire mais bon...

pas de probleme sur votre analyse, nous sommes la pour échanger